Hubert Robert
Hubert Robert, né le à Paris[1] et mort le dans la même ville, est un peintre français, dessinateur, graveur, professeur de dessin, créateur de jardins et conservateur au Muséum central des arts de la République (futur musée du Louvre).
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(à 74 ans) Paris |
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Hubert des Ruines Robert |
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Prison Sainte-Pélagie (depuis ), prison Saint-Lazare () |
Projet d'aménagement de la Grande Galerie du Louvre, vers 1796, Peintre dessinant le pont en bois du parc de Méréville (d), Vue du parc de Méréville (d) |
Il est un des principaux artistes français du XVIIIe siècle
Biographie
Hubert Robert vient d'un milieu social privilégié. Il naît à Paris le [2], et est baptisé le lendemain en l'église Saint-Sulpice de Paris[3]. Son père, Nicolas Robert, est intendant de la famille de Stainville[4] et sa mère est Jeanne Catherine Charlotte Thibault. Son éducation poussée fait qu'il sait le latin et le grec et est formé aux usages sociaux du grand monde, ce qui lui permet de s'y intégrer et s'y sentir à l'aise[4].
Durant ses études au Collège de Navarre, entre 1745 et 1751[5], l’un de ses professeurs, l’abbé Batteux, avait noté les facilités du jeune élève présentant un penchant pour le dessin, en le voyant dessiner un mousquetaire à l'arrière de sa copie de traduction de grec[2]. Après un premier apprentissage dans l’atelier du sculpteur Michel-Ange Slodtz[5] (selon l’Abecedario de Pierre-Jean Mariette), Hubert Robert bénéficie de la protection du comte de Stainville (1719-1785), futur Étienne-François de Choiseul, alors nommé ambassadeur de France à Rome, qui lui offre de voyager en sa compagnie en Italie[4].
Le séjour à Rome
Arrivé à Rome le , Hubert Robert ne retourne en France que le . Grâce à l'appui du comte de Stainville, Hubert Robert obtient une place de pensionnaire à l’Académie de France à Rome[4], de 1759 à 1762, sans avoir remporté le prestigieux prix de Rome. Il profite alors des cours de perspective donnés par le peintre Giovanni Paolo Panini (1691-1765) et du voisinage de Giovanni Battista Piranesi (1720-1778), dit Piranèse[4], dont l’atelier de gravure est situé sur la via del Corso, face au Palais Mancini.
Le jeune homme se lie d’amitié avec Jean-Honoré Fragonard[4] (1732-1806), pensionnaire à l’Académie depuis . Ensemble, ils multiplient les dessins à la sanguine réalisés sur le motif, à Rome ou dans la campagne environnante, comme Ronciglione ou Tivoli, en privilégiant les vues des jardins et palais abandonnés par leurs riches propriétaires aux effets du temps et de la nature. Ce sont précisément ces sujets pittoresques qu’apprécient les amateurs du XVIIIe siècle et qu’Hubert Robert ne cesse d’exploiter en dessin comme en peinture tout au long de sa carrière.
À Rome, Hubert Robert rencontre Louis-Jacques Durameau, Étienne de La Vallée-Poussin et Jean-Robert Ango, ainsi que des amateurs influents. Parmi ces derniers, l’abbé de Saint-Non, membre honoraire de l'Académie royale de peinture et de sculpture, emmène Hubert Robert à Naples en avril 1760 pour visiter les sites les plus célèbres de Campanie, en particulier les temples doriques de Paestum, qui ne cesseront de le fasciner bien après son retour en France.
Un peintre paysagiste

Précédé par une excellente réputation de dessinateur d’architectures en ruines, Hubert Robert est de retour à Paris au mois d’. Quand il présente le , à l'Académie royale de peinture et de sculpture, un caprice architectural, Le Port de Ripetta à Rome[6], il est agréé et reçu durant la même séance, en tant que « peintre d’architecture ». Obtenant ainsi le droit d’exposer au Salon, il présente en 1767 plusieurs peintures et dessins d’architectures en ruines salués par la critique, Diderot en tête. Sa participation sera constante au Salon jusqu'en 1798. L'artiste fréquente des salons littéraires plus intimes comme celui de Madame Geoffrin, tenu les lundis jusqu'en 1777, ou celui d'Élisabeth-Louise de Rohan-Chabot, au sein duquel Hubert Robert enseigne le dessin aux amateurs.
Artiste à la mode, Hubert Robert développe très tôt un marché pour ses œuvres peintes et dessinées illustrant des paysages intégrant des architectures en ruines, qui se conjugue parfaitement avec la pratique du dessin en amateur. En effet, le paysage demeure un genre privilégié par les aristocrates, car son approche nécessite moins de métier que les sujets d’histoire. On notera qu'au Salon de 1787, le comte de Paroy et le marquis Turpin de Crissé, deux membres honoraires de l'Académie, exposent des œuvres imitant la manière d'Hubert Robert.
Hubert Robert prolonge son approche du paysage dans la création de jardins. Nommé successivement dessinateur des Jardins du Roi, garde des Tableaux du Roi, garde du Museum et conseiller à l’Académie, il est chargé d’aménager certaines parties des résidences royales, comme le hameau de la Reine à Trianon. Ce dernier s'inspire du hameau du parc d'Ermenonville, premier jardin anglais d'envergure sur le continent, à la conception duquel Robert participe en tant que conseiller artistique du marquis René de Girardin. Le parc de Méréville, appartenant au marquis Jean-Joseph de Laborde, peut être considéré comme celui où l'influence d'Hubert Robert est la plus importante.
La Révolution française
Déclaré « suspect » par le Comité de surveillance révolutionnaire, Hubert Robert est emprisonné à Sainte-Pélagie le , avant d’être transféré le à la prison de Saint-Lazare dont il est libéré le . Malgré ces vicissitudes, Hubert Robert produit des peintures sur assiettes et des dessins témoignant de la vie carcérale. Ce fut lui qui dessina le portrait de Jean-Antoine Roucher que cet infortuné poète envoya la veille de sa mort à sa femme et à sa fille.
La Révolution a également entraîné la destruction de certains de ses travaux : Robert a conçu les décors d'un théâtre d’environ 500 places dans l’Aile neuve, à l'emplacement de l'escalier Gabriel actuel dans le château de Versailles. Ce théâtre était destiné à servir de théâtre ordinaire de la cour, en remplacement du théâtre de la cour des Princes, trop vétuste et trop petit ; construite à partir de l’été 1785 et inaugurée début 1786 cette salle a été détruite sous Louis-Philippe. Une aquarelle de la conception de Robert est conservée à Paris aux Archives nationales[7].


Libéré après dix mois de détention, à la chute de Robespierre, il retrouve en 1795 son poste de conservateur au Museum, futur musée du Louvre, qu’il ne quitte qu’à sa mise en retraite en .
Il projette dans ses œuvres de réunir le Louvre aux Tuileries. C'est de cette période féconde que datent les nombreuses vues du Louvre, réelles ou imaginaires, où l'on peut voir, au milieu des débris d’édifices et d’arcs renversés, l’Apollon du Belvédère.
Le , Hubert Robert meurt, sans héritiers, d’une apoplexie au 19, rue Neuve-du-Luxembourg à Paris[8].
Le musée d'Art et d'Archéologie de Valence, le musée du Louvre, la bibliothèque municipale de Besançon et le musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg conservent d'importantes collections de dessins et de peintures d’Hubert Robert.
Il est inhumé au cimetière d'Auteuil dans le 16e arrondissement de Paris ; la tombe n'existe plus, mais la stèle a été conservée.
Œuvres


Conception d'aménagement paysager, d'architecture et de mobilier
- Temple de la Philosophie Moderne au parc Jean-Jacques-Rousseau d'Ermenonville.
- Laiterie de Rambouillet : concepteur du jardin anglais, de la laiterie, et du mobilier de style étrusque de la laiterie[9].
Peintures
- Galeries en ruines, Paris, musée Jacquemart-André.
- Les Découvreurs d'antiques, vers 1765, huile sur toile, 81 × 67 cm, musée d'Art et d'Archéologie de Valence.
- Intérieur de monument, La porte de la Chapelle Sixtine, Toulon, musée d'Art.
- Le Port de Rome, orné de différents monuments d'architecture antique dit aussi Le Port de Ripetta à Rome, 1766, huile sur toile, 119 × 145 cm, École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, dépôt du musée du Louvre.
- La Cascade de Tivoli, 1768, Paris, musée du Louvre.
- L'Atelier du peintre, Rotterdam, musée Boymans-van Beuningen.
- Incendie du Théâtre de l'Opéra du Palais-Royal, , huile sur toile, 84,5 × 114 cm, Paris, musée Carnavalet.
- La Bastille dans les premiers jours de sa démolition, Paris, musée Carnavalet.
- La Récréation des prisonniers à Saint-Lazare en 1794, Paris, musée Carnavalet.
- Le Ravitaillement des prisonniers à Saint-Lazare en 1794, Paris, musée Carnavalet.
- Vue de la cellule du baron de Besenval à la prison du Chatelet, 1790, huile sur toile, 37 × 45 cm, Paris, musée du Louvre[10].
- Projet d'aménagement de la Grande Galerie du Louvre, 1796, huile sur toile, 115 × 145 cm, Paris, musée du Louvre.
- Vue imaginaire de la Grande Galerie du Louvre en ruine, 1796, huile sur toile, 114 × 146 cm, Paris, musée du Louvre.
- Alexandre le Grand devant le tombeau d'Achille, vers 1754, huile sur toile, 73 × 91 cm, Paris, musée du Louvre[11].
- Paysage montagneux, huile sur toile, 282 × 130 cm, Paris, musée Nissim-de-Camondo.
- Pavillon rustique dans un parc, huile sur parc, 72 × 55 cm, Paris, musée Nissim de Camondo.
- La Grotte du Pausilippe à Naples, La Fère, musée Jeanne d'Aboville.
- Le Vase Borghese, Valence, musée d'Art et d'Archéologie.
- Escalier tournant du palais Farnese à Caprarola, 25 × 34 cm, Paris, musée du Louvre.
- L'Incendie de Rome, vers 1771, huile sur toile, 76 × 93 cm, Le Havre, musée d'Art moderne André-Malraux.
- La Salle de l’Apollon du Belvédère, dans laquelle on reconnait la Vénus d’Arles et l'Aphrodite du Capitole, huile sur toile 64 × 82 cm, 1802-1803, palais de Pavlovsk[12].
- Bergers sous une grotte, huile sur toile, 198 × 104 cm, Toulouse, Fondation Bemberg.
- Château en ruines sur un rivage, huile sur toile, 198 × 104 cm, Toulouse, Fondation Bemberg.
- Paysage au pont, huile sur toile, 44,5 × 54 cm, Toulouse, Fondation Bemberg.
- Caprice architectural avec figures autour d'une fontaine, huile sur toile, 40,8 × 32,5 cm, Toulouse, Fondation Bemberg.
- Ruines romaines, 1776, huile sur toile, 75 × 89 cm, Paris, Petit Palais.
- Jeunes Filles dansant autour d'un obélisque, 1798, huile sur toile, 120 × 99 cm, musée des Beaux-Arts de Montréal.
- Le Gladiateur, huile sur toile, 280 × 132 cm, Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris.
- Marc Aurèle, huile sur toile, 280 × 132 cm, Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris.
- Vénus Callipyge ou Nymphe au bain, huile sur toile, 280 × 132 cm, Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris.
- Laocoon, huile sur toile, 280 × 132 cm, Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris.
- Apollon, huile sur toile, 280 × 132 cm, Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris.
- Flore, huile sur toile, 280 × 132 cm, Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris.
Ensembles décoratifs
- Les Principaux Monuments de la France, série de quatre tableaux des vestiges de la Gaule destinée à décorer un salon au château de Fontainebleau. Réalisée en 1786, exposée au salon de 1787, rassemblée au Louvre depuis 1822, seul le Pont du Gard fut exposé à l'emplacement prévu :
- Intérieur du Temple de Diane à Nîmes, huile sur toile, 242 × 242 cm ;
- L'Arc de triomphe et le Théâtre d'Orange, 1787, huile sur toile, 242 × 242 cm[13] ;
- La Maison Carrée, les Arènes et la Tour Magne à Nîmes, 1786-1787, huile sur toile, 243 × 244 cm[14] ;
- Le Pont du Gard, 1787, huile sur toile, 242 × 242 cm[15].
Expositions

- Hubert Robert : les sanguines du musée de Valence, Paris, musée Jacquemart-André, 1969.
- Hubert Robert Drawings & Watercolors, Washington, National Gallery of Art, 1978-1979, catalogue par Victor Carlson.
- Hubert Robert et la Révolution, musée de Valence, 1989.
- J.H. Fragonard e H. Robert a Roma, Rome, villa Médicis, 1990-1991, catalogue par par Jean-Pierre Cuzin et Catherine Boulot.
- Hubert Robert et Saint-Pétersbourg. Les commandes de la famille impériale et des princes russes entre 1773 et 1802, Valence, musée des Beaux-Arts, 1999, catalogue par Hélène Moulin-Stanislas.
- Hubert Robert, Paris, musée du Louvre, 2006, catalogue par Jean-François Méjanès.
- Hubert Robert. Un orateur dans les ruines, Belfort, musée des Beaux-Arts, 2014-2015, catalogue par Sarah Catala.
- Hubert Robert, 1733-1808. Un peintre visionnaire, Paris, musée du Louvre, du au [16].
- Hubert Robert et la fabrique des jardins, château de La Roche-Guyon, 2017.
Notes et références
- Paroisse Saint-Sulpice.
- (en) André Rueff, « Hubert Robert », Art & Life, vol. 11, no 1, (lire en ligne)
- Les registres paroissiaux et d'état civil à Paris ont été incendiés pendant la Commune de Paris de 1871 mais l'acte de baptême et la référence figurent dans Auguste Jal, Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, Paris, 1872, p.1068.
- Guillaume Faroult et Manuel Jover, « Hubert Robert : Le retour au Louvre », Connaissance des Arts, no 748, , p. 72-77
- Encyclopédie de l'art, Paris, Librairie générale française, (ISBN 978-2-253-13025-3), p. 871
- Paris, École nationale supérieure des beaux-arts, inv. MU 2625.
- Une impression couleur d'un détail de la conception est montrée dans Huisman.
- Auguste Jal, Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, Paris, 1872, p. 1068.
- Communiqué de presse de l'exposition consacrée au peintre au musée du Louvre, du 9 mars au 30 mai 2016.
- Acquisition par le musée du Louvre en novembre 2012. Le tableau a appartenu à Joseph-Alexandre de Ségur, fils naturel de l'artiste ((source : Guillaume Faroult, Un Hubert Robert sans les ruines in Grande Galerie - Le Journal du Louvre, mars/avril/mai 2013, n° 23, page 12).
- Tableau peint vraisemblablement à Rome. L'œuvre est proche du tableau éponyme de Giovanni Paolo Panini, conservée au Musée d'art et d'histoire de Narbonne. Alexandre considérait Achille comme un modèle et se présentait comme son descendant par sa mère Olympias, princesse d'Egire (source :Grande Galerie - Le Journal du Louvre, sept./oct./nov./ 2011, no 17).
- Bénédicte Savoy, Patrimoine annexé, Les biens culturels saisis par la France en Allemagne autour de 1800, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, Paris, 2003, t. I, p. 327 (En ligne).
- Orange, Base Atlas.
- Nîmes, Base Atlas.
- Gard, Base Atlas.
- [PDF] louvre.fr.
Annexes
Bibliographie
- Marie-Catherine Sahut, Le Louvre d'Hubert Robert, dossier no 18 du Département des Peintures, Paris, RMN, 1979.
- Jean de Cayeux, Les Hubert Robert de la collection Veyrenc au musée de Valence, Valence, 1985 (catalogue raisonné);
- Jean de Cayeux et Michel Serres, Hubert Robert et les jardins, Herscher, (ISBN 978-2733501443);
- Jean de Cayeux, Hubert Robert, Paris : Fayard, 1989;
- Philippe Huisman, L'Aquarelle Française au XVIIIe Siècle;
- Sarah Catala, Les Hubert Robert de Besançon, Milan : Silvana Editoriale, 2013 catalogue raisonné des dessins, peintures et gravures de la bibliothèque municipale et du musée des beaux-arts et d'archéologie et de Besançon;
- Guillaume Farout (dir.), Hubert Robert, 1733-1808 - Un peintre visionnaire, Somogy et Musée du Louvre éd., (ISBN 978-2757210642)[1];
- Guillaume Faroult, Catherine Voiriot et Sarah Catala, Hubert Robert (1733-1808) : Un peintre visionnaire; Album, Somogy éditions d'art, coll. « COEDITION ET MU », (ISBN 978-2757210659)
- Pierre de Nolhac, Hubert Robert: 1733-1808, Goupil & Cie, 1910
- Claude Courtot, Journal imaginaire de mes prisons en ruines: Hubert Robert 1793-1794, José Corti, 1988
- Nathalie Hersent, « Hubert Robert, le peintre des ruines », Le blog de Gallica, (lire en ligne)
- Paul Sentenac , Hubert Robert, avec 60 planches hors texte en héliogravure, Nogent-le-Rotrou Cachan Paris, 1929, coll. des Maîtres de l'art ancien, éditions Rieder, 64 p.
Filmographie
- Hubert Robert. une vie heureuse (Robert. Schastlivaïa jizn), d'Alexandre Sokourov, 1996, documentaire, 27 min.
Articles connexes
Liens externes
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- « Hubert Robert » dans la base Joconde.
- « À la loupe : dans l'atelier d'Hubert Robert », sur le site Mémoire vive patrimoine numérisé de Besançon.
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