Calendrier romain

L'expression calendrier romain désigne l'ensemble des calendriers utilisés par les Romains jusqu'à la création du calendrier julien en 45 av. J.-C. Les années sont exprimées en années AUC (ab Urbe condita), comptées à partir de la fondation de Rome en 753 av. J.-C..

Pour les articles homonymes, voir Calendrier romain (homonymie).

Les Romains utilisèrent trois calendriers :

Il serait, selon la tradition entre autres rapportée par Ovide dans Les Fastes, l'invention de Romulus, fondateur de Rome vers 753 av. J.-C. Il semble cependant avoir été fondé sur le calendrier grec, lunaire, ou étrusque.

Description générale

Les années

Les anciens Romains prennent comme origine de la datation des années la fondation de Rome (Ab urbe condita) située le 21 avril de l'an 753 av. J.-C., selon le récit de Tite-Live. Ils utilisent par la suite d'autres dates-origine (expulsion des rois, fondation de la République romaine, nom des deux consuls en exercice selon les fastes consulaires).

Les mois

Le calendrier romuléen comptait dix mois ayant soit 30 jours (mois incomplet) soit 31 (mois plein), ce qui donnait une année de 304 jours (soit 38 x 8 jours) commençant au mois de mars et se terminant au mois de décembre.

Le calendrier pompilien est le fruit d'une réforme du calendrier précédent auquel on ajouta 50 jours. Les 354 (ou 355) jours de l'année, furent alors répartis sur douze mois, avec la création de ceux de janvier et février, placés après décembre. À l'exception de février, les mois ne comptaient alors que des nombres impairs de jours car les nombres pairs étaient considérés comme néfastes[2]. Sur un cycle de huit ans, s'ajoutait également tous les deux ans, un 13e mois dit « intercalaire », baptisé mercedonius comptant 22 ou 23 jours. Celui-ci était alors intercalé alternativement après le 23 ou le 24 février, ce qui portait l'année à 377 ou 378 jours.

La réforme julienne y mettra bon ordre pour donner le calendrier julien, comportant douze mois de 30 ou 31 jours (à l'exception toujours de février qui comptait 28 ou 29 jours).

Calendes, ides et nones

La notion de semaine n'apparaissant qu'au IVe siècle, les Romains divisent le mois en trois périodes de durée inégale. Ces périodes sont séparées par des jours de référence : les calendes, les ides et les nones.

La huitaine romaine

Les jours

Les jours sont comptés à rebours. L'intervalle de jours entre deux événements est réalisé selon un comput inclusif.

Les jours fastes et néfastes

Les Romains nommaient jours fastes (dies fasti, dérivé du latin fas, « ce qui est permis par les dieux ») les jours où il était autorisé de vaquer aux affaires publiques et privées, et jours néfastes (dies nefasti : jours fériés, jour des morts, anniversaires factieux, etc). Les pontifes distinguent les féries statives (fêtes revenant chaque année le même jour) des féries indictives ou mobiles (fêtes usuelles conceptivae ou exceptionnelles imperativae[3]).

Les jours de fêtes

Ces jours, obligatoirement néfastes c'est-à-dire sans activités, marquaient des Fasti (en), fêtes en l'honneur des dieux ou de certaines dates marquantes de l'histoire de Rome (par exemple la commémoration de victoires de Jules César à partir d'Auguste).

Calendrier de Romulus

Selon la tradition, ce calendrier comportait, à l'origine, dix mois (usage hérité, semble-t-il, du calendrier étrusque[4],[5]) commençant à l'équinoxe vernal, pour un total de 304 jours. Les jours restants auraient été ajoutés à la fin de l'année (entre décembre et mars). Il commençait aux alentours du 1er mars, ce qui explique que le nom du mois de septembre ait la même racine latine que le nombre sept alors qu'il est de nos jours le neuvième mois (même remarque pour octobre, novembre, et décembre) :

Il restait alors environ 61 jours par an hors du calendrier, ajoutés irrégulièrement pour réajuster le calendrier sur les lunaisons : on s'arrêtait simplement de compter les jours durant l'hiver en attendant les calendes de mars marquant la première lune du printemps.

Chaque mois était initialement divisé en 3 décades (decadi) de 10 jours (avant que cette tradition ne soit progressivement remplacée par les nundines, la semaine commerçante de 8 jours). Pour rendre honneur au dieu Mars, une décade de 10 jours de fête (nommés les calendes de Mars) était organisée en fin d'année jusqu'au jour dit (cette durée est réduite à 8 jours plus tard).

Toutefois, le terme calendes désignait en fait le premier jour du mois et devait correspondre à une nouvelle lune, le jour des annonces officielles. Le 15e jour des quatre mois longs de 31 jours, ou le 13e jour des autres mois était nommé ides (et correspondait à la pleine lune).

On comptait les jours par anticipation de ces jours remarquables en comptant ce jour inclusivement.

Le neuvième jour avant les ides (donc exactement une semaine avant dans la tradition romaine), était aussi un jour remarquable nommé none (donc la none tombait le 5 ou le 7 selon les mois, suivant que les ides tombaient le 13 ou le 15) correspondant au premier quartier de lune. Les veilles de ces jours remarquables étaient nommées pridie, par exemple pridie nonas était la veille des nones, mais l'avant-veille des nones était le troisième jour avant les nones (et non le second). Ainsi, tous les jours en fin de mois après les ides étaient comptés en référence à la calende du mois suivant.

Calendrier romain réformé de Numa

La première réforme fondamentale du calendrier de Romulus est attribuée à Numa Pompilius (715-673 av. J.-C.), le second des sept rois traditionnels de Rome. Selon Tite-Live il a inséré des mois intercalaires de telle manière que dans la vingtième année les jours se retrouvent dans la même position par rapport au soleil qu'au début[6], ce qui indique que son calendrier aurait à l'origine suivi un cycle métonique, avec 7 mois intercalaires de 29 ou 30 jours sur chaque période de 19 ans.

[réf. nécessaire]

Les Romains portèrent l'année à 355 jours en fixant le mois de janvier à 29 jours, et, jusqu'en 450 av. J.-C., l'année compta 355 jours (ou 385 jours tous les 4 ans), mais les grands pontifes chargés de définir le calendrier et de déterminer les mois intercalaires (pour des raisons religieuses, politiques[7] ou financières[8]) oublièrent d'y apporter une correction périodique (pourtant connue des Grecs qui utilisaient un cycle correcteur de 24 ans) :

  • I - Martius (mars) : 31 jours,
  • II - Aprilis (avril) : 29 jours,
  • III - Maius (mai) : 31 jours,
  • IV - Iunius (juin) : 29 jours,
  • V - Quintilis (juillet) : 31 jours,
  • VI - Sextilis (août) : 29 jours,
  • VII - September (septembre) : 29 jours,
  • VIII - October (octobre) : 31 jours,
  • IX - November (novembre) : 29 jours,
  • X - December (décembre) : 29 jours,
  • XI - Ianuarius (janvier) : 28 jours, en l'honneur du dieu Janus,
  • XII - Februarius (février) : 28 jours (ou 29 jours tous les 4 ans), vient du verbe Februare : purifier en faisant des expiations, de là les fêtes de Februalia, personnifiées par la divinité mineure Februus.
    • Mensis intercalaris : 29 jours (uniquement tous les 4 ans)

De plus l'année moyenne était trop courte et comptait alors 362,5 jours. Aussi des jours supplémentaires pouvaient être apportés de façon irrégulière, pour recaler le calendrier avec le cycle saisonnier solaire.

Calendrier romain républicain

Une inscription du Calendrier romain, appelé Fastes d'Antium. Ce calendrier précède la réforme Julienne du calendrier ; on peut observer qu'il contient les mois Quintilis et Sextilis, et permet l'insertion d'un mois intercalaire. Il affiche également les nones, les ides et les lettres nundinales.

C'est sous la République romaine, vers 450 av. J.-C. que l'on inversa les noms des mois de février et de janvier, peut-être pour plaire au dieu Janus, dont janvier porte le nom ; le mois intercalaire déplacé en fin d'année fut appelé Mercedonius nommé ainsi parce que les mercenaires recevaient leurs salaires (en latin : merces) à ce moment-là, l'année comptant alors 355 jours tous les 2 ans, et alternativement 377 ou 378 jours les autres années :

  • I - Martius (mars) : 31 jours,
  • II - Aprilis (avril) : 29 jours,
  • III - Maius (mai) : 31 jours,
  • IV - Iunius (juin) : 29 jours,
  • V - Quintilis (juillet) : 31 jours,
  • VI - Sextilis (août) : 29 jours,
  • VII - September (septembre) : 29 jours,
  • VIII - October (octobre) : 31 jours,
  • IX - November (novembre) : 29 jours,
  • X - December (décembre) : 29 jours,
  • XI - Januarias (janvier) : 29 jours,
  • XII - Februarias (février) : 28 jours (ou 23 ou 24 jours alternativement les années avec mois intercalaire)
    • Mercedonius : 27 jours (uniquement tous les 2 ans, les années avec mois intercalaire).
  • Les cinq premiers jours de Mercedonius étaient considérés comme faisant normalement partie de février, mais l'usage a consacré de les compter dans Mercedonius.

Bien que plus proche de l’année solaire que le calendrier précédent, l'année moyenne de ce calendrier comptait encore 366,25 jours. À noter que la durée moyenne des mois était de 29,59 jours, assez proche de la durée d'une lunaison (intervalle entre deux pleines lunes) qui est de 29,53 jours. C'est lors de la République que la semaine commerçante de 8 jours s'est imposée.

Déchéance du calendrier romain républicain

Néanmoins les règles déterminant les mois intercalaires (pour tenter de conserver l'alignement de lunaisons) restèrent floues, et le calendrier devint incompréhensible, d'autant que le calendrier contenait un jour de trop pour être lunaire, et que les consuls manipulaient à volonté le calendrier en fonction d'échéances politiques, notamment en raccourcissant ou supprimant parfois les mois intercalaires[réf. nécessaire] ; au fil de l'histoire le calendrier finit par se décaler dans l'année.

Par deux fois dans l'histoire, les mois intercalaires furent omis, notamment au IIe siècle av. J.-C. après les guerres puniques, et au milieu du Ier siècle av. J.-C.

C'est Jules César (qui avait été élu Pontifex Maximus depuis une quinzaine d'années) qui mit fin à ce système compliqué, et souvent peu respecté, en introduisant un nouveau calendrier en 46 av. J.-C., le calendrier julien, abolissant les mois intercalaires. Auparavant, il ajoute un jour au mois de septembre, non pas en fin de mois selon les traditions, mais le lendemain des ides (il s'agissait au départ de rattraper progressivement le retard accumulé par l'ancien calendrier romain républicain en dépit du fait que l'année moyenne était trop longue, mais le calendrier julien apportera une solution plus radicale car non calquée sur le cycle lunaire, et plus durable).

Ensuite la tradition des nones et des ides lunaires s'est étiolée avec l'arrivée progressive de la semaine commerciale de 7 jours importée de l'est de l'empire, et l'influence grandissante des civilisations orientales sémitiques puis chrétiennes. Et dès lors on commencera à compter les jours à partir du début du mois calendaire.

Mois et jours

Expression de la date en latin

L‘année romaine commence en mars. Les mois sont désignés par des adjectifs : Martius, Aprilis, Maius, Iunius, Iulius, Augustus, September, October, November, December, Ianuarius, Februarius.

Les mois de trente-et-un jours — Martius, Maius, Quintilis et October — sont dits mois pleins (pleni menses, en latin) ; les autres — Mercedonius excepté — sont dits mois caves (en latin : cavi menses) ; Mercedonis est dit mois intercalaire (intercalaris mensis, en latin).

Expression du quantième du mois

Les jours débutent à midi.

Dans un mois, trois jours ont un nom particulier et servent de repères :

  • Les calendes (kalendae, kalendarum, (f./pl.)) : le 1er jour du mois, qu'il soit plein, cave ou intercalaire ;
  • Les nones (nonae, nonarum, (f./pl.)) : le 5e jour d'un cave ; mais le 7e jour d'un mois plein ;
  • Les ides (idus, iduum, (f./pl.)) : le 13e jour d'un mois cave ; mais le 15e jour d'un mois plein.

Pour exprimer le quantième du mois, on utilise ces trois jours comme repères :

  • Si l‘on veut exprimer l‘un de ces trois jours, on emploie ces mots à l'ablatif. Par exemple le 1er avril se dit Kalendis Aprilibus, le 7 mars est Nonis Martiis et pour le 13 janvier on dit Idibus Ianuariis ; César est mort aux ides de mars : Idibus Martiis, etc.
  • Dans les autres cas, on fait un compte à rebours à partir de ces jours repères, en comptant le jour repère comme le premier avant lui-même, contrairement à notre logique moderne :
    • pour la veille, on emploie pridie + accusatif (exemples : pridie Nonas Iunias = la veille des nones de juin = le 4 juin ; pridie Idus Novembres = le 12 novembre ; pridie Kalendas Ianuarias = le 31 décembre ; etc.)
    • l’avant-veille est comptée comme le 3e jour avant (nous dirions le deuxième) ante diem tertium Nonas Iulias = le 3e jour à partir des nones de juillet = le 5 juillet, et ainsi de suite.

Attention : pour exprimer une date après les ides, on se réfère aux calendes du mois suivant : le 18 janvier sera donc le 15e jour avant les calendes de février.

Les mois romains n’ont pas toujours eu la même longueur ni les mêmes noms.

Initialement, le calendrier de Jules César a rétabli la synchronisation des calendes de mars avec l’équinoxe vernal, mais le calendrier s’est stabilisé sur l’année solaire, en lui donnant une longueur de 365 jours, plus un jour intercalaire avant le sixième jour[9] des calendes de mars (donc dans les derniers jours de l’année dans l’actuel mois de février) : c’est l’origine des années bissextiles. La position de la journée bissextile fait également l’objet de désaccord selon les auteurs, mais on retient encore que le mot bissextile est lié à la seconde (bis) sixième journée avant la calende de mars. Le nom de ce jour était donc ante diem bis sextum Kalendas martis, qui est à l'origine du mot bissextile[10]. La position de cette journée ayant été choisie pour ne pas perturber la date de célébration des fêtes religieuses ou populaires qui précèdent ces calendes, ni celle des jours de marchés (dans la semaine romaine de huit jours). De plus, les Romains avaient l'habitude d'insérer à cet endroit le Mensis intercalaris (mois intercalaire).

L’empereur Auguste a renommé le cinquième mois de l’année Quintilis en Iulius pour rendre hommage à Jules César, inventeur du calendrier julien initial. Son successeur a voulu faire de même en rendant hommage à l’empereur Auguste en renommant le sixième mois de Sextilis en Augustus.

Certains auteurs croient qu’à l’origine l’alternance des longueurs de mois longs et courts, de mars à février était parfaite dans le calendrier de Jules César et d’Auguste mais pour que le mois consacré à Auguste ait le même nombre de jours que le mois consacré à Jules, un jour lui aurait été ajouté le lendemain des ides de ce mois, mais cette hypothèse ne semble pas attestée (en effet la tradition était plutôt d'ajouter les mois intercalaires entre les derniers jours avant les calendes de mars) ; selon cette hypothèse, pour que le nombre de jours de l’année ne soit pas modifié, un jour aurait alors été retiré le lendemain des ides du dernier mois de l’année (Februarius). L’alternance des longueurs de mois entre September et December aurait alors été modifiée (afin qu’il n’y ait pas trois mois longs successifs et aussi pour maintenir les dates de l’équinoxe d’automne et du solstice d’hiver) ; la journée bissextile aurait alors été déplacée non plus dans les jours qui suivent les ides d’août (auparavant Sextilis) mais dans les jours qui suivent les ides du dernier mois de Februarius, ce qui effectivement renumérotait tous les jours avant des calendes de mars.

Tableau de correspondances

On a continué à nommer les jours selon les systèmes des calendes, nones et ides selon la tradition du calendrier romain républicain pendant une bonne partie du Moyen Âge. Le tableau ci-dessous donne la correspondance avec les jours du calendrier actuel :

Noms des jours Abrégés Martius
Maius
Iulius
October
 
 
 
 
 
Augustus
 
December
Ianuarius
 
Aprilis
Iunius
September
November
 
 
 
 
 
 
 
 
Februarius
(bissextile)
 
 
 
 
 
Februarius
non bissextile)
KalendisKal.1
ante diem sextum Nonasa.d. VI Non.2 
ante diem quintum Nonasa.d. V Non.3 
ante diem quartum Nonasa.d. IV Non.42
ante diem tertium Nonasa.d. III Non.53
pridie Nonasprid. Non.64
NonisNon.75
ante diem octavum Idusa.d. VIII Id.86
ante diem septimum Idusa.d. VII Id.97
ante diem sextum Idusa.d. VI Id.108
ante diem quintum Idusa.d. V Id.119
ante diem quartum Idusa.d. IV Id.1210
ante diem tertium Idusa.d. III Id.1311
pridie Idusprid. Id.1412
IdibusId.1513
ante diem novum decimum Kalendasa.d. XIX Kal. 14 
ante diem octavum decimum Kalendasa.d. XVIII Kal. 1514 
ante diem septimum decimum Kalendasa.d. XVII Kal.1615  
ante diem sextum decimum Kalendasa.d. XVI Kal.171614
ante diem quintum decimum Kalendasa.d. XV Kal.181715
ante diem quartum decimum Kalendasa.d. XIV Kal.191816
ante diem tertium decimum Kalendasa.d. XIII Kal.201917
ante diem duodecimum Kalendasa.d. XII Kal.212018
ante diem undecimum Kalendasa.d. XI Kal.222119
ante diem decimum Kalendasa.d. X Kal.232220
ante diem novum Kalendasa.d. IX Kal.242321
ante diem octavum Kalendasa.d. VIII Kal.252422
ante diem septimum Kalendasa.d. VII Kal.262523
ante diem bis sextum Kalendasa.d. bis VI Kal. 24 
ante diem sextum Kalendasa.d. VI Kal.27262524
ante diem quintum Kalendasa.d. V Kal.28272625
ante diem quartum Kalendasa.d. IV Kal.29282726
ante diem tertium Kalendasa.d. III Kal.30292827
pridie Kalendasprid. Kal.31302928

Sources antiques

  • Fastes d'Antium, ou Fasti Antiates maiores.
  • Censorin, Du Jour natal.
  • Jean le Lydien.
  • Macrobe, Saturnales : I, 12 (sur le calendrier dit de Romulus), I, 13 (sur le calendrier dit de Numa), I, 14 (sur le calendrier julien), I, 15 (sur les calendes, les ides et les nones) et I, 16 (sur les jours).
  • Ovide, Fastes.
  • Solin.

Notes et références

  1. Dit aussi calendrier de Tarquin car parfois attribué à Tarquin l'Ancien. Jean-Paul Parisot et Françoise Suagher, Calendriers et chronologie, Masson, , p. 65.
  2. Le calendrier romain
  3. Jours fastes et néfastes
  4. Histoire du calendrier
  5. "Millesimo" « http://millesimo.irht.cnrs.fr/mmo/Notice/notice.htm?P=romanDoc.htm Article sur "Millesimo" »("Millesimo" Archive"Millesimo" Wikiwix"Millesimo" Archive.is"Millesimo" Google • Que faire ?),
  6. Tite-Live, Ab Urbe Condita, I, XIX, 6.
  7. Cela permettait aux consuls de rester plus longtemps en fonction.
  8. Une année de treize mois permettait de percevoir davantage d'intérêts d'emprunts.
  9. « Les Années Bissextiles, la réforme de Jules César », sur IMCCE - L'Institut de Mécanique Céleste et de Calcul des Éphémérides (consulté le 31 juillet 2012)
  10. Jean Lefort, La saga des calendrier : ou le frisson millénariste, Paris, Bibliothèque pour la science, , 191 p. (ISBN 978-2-84245-003-8 et 2-84245-003-5), p. 62

Voir aussi

Bibliographie

  • Pierre Brind'Amour, Le calendrier romain : Recherches chronologiques, Ottawa, 1983, 384 pages (ISBN 2760347028).
  • Jean Bayet, La religion romaine, histoire politique et psychologique, Paris, Payot, (1re éd. 1956), 341 p. (ISBN 2-228-89213-0)
  • Flamant (Jacques), « L'année lunaire aux origines du calendrier pré-julien », Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité, 96, n° 1, 1984, p. 175-193 (en ligne).
  • Guittard (Charles), « Le calendrier romain des origines au milieu du Ve s. av. J.-C. », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, 1973, p. 203-219.
  • André Magdelain, « Cinq jours épagomènes à Rome ? », Revue des études latines, 40, 1962, p. 201-227.
  • Martin (Paul Marius), « La fonction calendaire du roi de Rome et sa participation à certaines fêtes », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 83, n° 2, 1976, p. 239-244 (en ligne).
  • (en) Michels (A. Kirsopp), The calendar of Roman Republic, Princeton, 1967.
  • Paoli (V. E.), « La signification du sigle NP dans les calendriers romains », Revue des études latines, 28, 1950, p. 252-279.
  • Richard (J.-C.), « Le calendrier romain préjulien », Revue des études latines, 46, 1968, p. 54-61.
  • (en) Rose (H. J.), « The pre-Caesarian Calendar », Classical Journal, 40, 1944-45, p. 65-76.

Articles connexes

Liens externes

Histoire du calendrier romain, Université de RENNES, section Histoire, Ed. JCLM, 1er janvier 2017

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