Hanoï

Hanoï (/a.nɔj/, en vietnamien Hà Nội /hàː nôjˀ/ « la ville entre les fleuves » ; chữ nho : 河內) est la capitale du Viêt Nam. Située au nord du pays, sur les rives du delta du fleuve Rouge (Sông Hồng), sa population est estimée à environ 7,66 millions d'habitants en 2017[3], dont 2,6 millions dans la ville-centre. Elle est ainsi la deuxième ville la plus peuplée du Viêt Nam, après Hô-Chi-Minh-Ville, située à 1 760 km au sud. Son paysage urbain est marqué par la présence de nombreux lacs (Hoan Kiem, lac de l'ouest, Bambou blanc) ainsi que de nombreux édifices religieux, principalement confucéens et taoïstes (Temple de la Littérature, temple Ngoc Son) mais aussi catholiques (cathédrale Saint-Joseph, église des Martyrs). La vieille ville compte également un grand nombre de pagodes bouddhistes.

Pour les articles homonymes, voir Hanoï (homonymie).

Hanoï
Hà Nội (vi)
(anciennement Tống Bình, Đại La, Thăng Long, Đông Đô, Đông Kinh, Bắc Thành )

Le pont Long Biên, Bến Đục, la tour de la Tortue sur le lac Hoan Kiem, le temple de la Littérature, le mausolée de Hô Chi Minh et l'opéra de Hanoï.
Administration
Pays Viêt Nam
Statut administratif Capitale (Thủ Đô)
Subdivision Divisée en 12 districts urbains, 18 districts suburbains et 1 municipalité suburbaine
Secrétaire du PCV Hoàng Trung Hải
Maire
Mandat
Nguyễn Thế Thảo[1]
-
Code aéroport HAN
Préfixe téléphonique (+84) 4
Démographie
Population 7 558 965 hab. (2016[2])
Densité 2 271 hab./km2
Géographie
Coordonnées 21° 02′ nord, 105° 51′ est
Superficie 332 890 ha = 3 328,9 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Viêt Nam
Hanoï
Géolocalisation sur la carte : Viêt Nam
Hanoï
Liens
Site web http://hanoi.gov.vn

    Hanoï est fondée par le roi Ly Thai To en 1010, et demeure jusqu'en 1802 le cœur politique du Viêt Nam. La ville est éclipsée par Huế, la capitale impériale du pays durant la dynastie Nguyễn (1802–1945), mais devient la capitale de l'Indochine française de 1902 à 1954. Elle est ensuite la capitale de la République démocratique du Viêt Nam, jusqu'en 1976, et devient celle de la République socialiste du Viêt Nam après la victoire du Nord lors de la guerre du Viêt Nam. En , la ville de Hanoï absorbe la province de Hà Tây et des territoires ruraux, ce qui fait doubler sa population. En , des festivités (Le Millénaire d'Hanoï) commémorent la fondation de la ville.

    Tout au long du XXe siècle, la ville a connu une explosion démographique et un fort développement économique qui font d'elle une métropole émergente. De nombreux gratte-ciels y ont été construits, dont la tour Keangnam, et un métro doit entrer en exploitation en 2017. Centre universitaire et culturel, elle compte en outre les principaux musées du pays, dont le musée national d'histoire vietnamienne et le musée des beaux-arts du Viêt Nam.

    Histoire

    Jusqu'au VIIIe siècle, un simple village se trouvait sur les terres de l'actuelle Hanoï. Celui-ci avait été fondé par les Chinois, qui l'avaient baptisé « nombril du dragon », avant de prendre le nom de Dai La (« la grande enceinte extérieure ») en 866[4].

    La ville prit le nom de Hanoï en sous l'impulsion du roi Ly Thai To. Elle devint la capitale de l'Indochine française de à , puis celle de la République démocratique du Viêt Nam de à , et enfin de la République socialiste du Viêt Nam depuis cette date.

    La dernière prise d'armes de l'histoire de la France à Hanoï a lieu le au stade Mangin[5], après soixante-quinze ans de colonisation. Elle est commandée par le général Massu[n 1].

    Géographie

    Hanoi vu par le satellite Spot en 2002.

    Hanoï se trouve sur le delta du fleuve Rouge qui charrie ses eaux boueuses vers le golfe du Tonkin, à une altitude inférieure à celui-ci, ce qui la rend vulnérable aux inondations.

    La ville a connu une très forte croissance démographique au cours du XXe siècle et a contribué par son dynamisme économique à la transformation d'un Vietnam essentiellement agricole à un Vietnam industriel et tertiaire. L'urbanisation et l'industrialisation ont entraîné une pression croissante sur les écosystèmes autour et dans la ville, dont l'un des exemples est la pollution des eaux de la rivière To Lich (en), affluent du fleuve Rouge étudié par le géographe Yves Duchère[6].

    Toponymie

    Son nom varia au cours des siècles : Kecho, Dai La, Thang Long, Dong Kinh (du chinois 東京 (dong jing), signifiant « capitale de l'Est »), qui fut latinisé en Tonkin. Le nom de Tonkin désigna ensuite la province entourant la ville, c'est-à-dire le Nord du Viêt Nam actuel. Le nom Thăng Long est encore parfois utilisé de nos jours comme nom littéraire et poétique de la ville ; il signifie « Envol du dragon », contrairement à Ha Long (« dragon qui descend »). Le nom vietnamien de la ville se décompose en : (« cours d'eau ») et ņôi (« entre »), Hanoï est donc « [la ville] entre les cours d'eau »[7].

    Découpage administratif

    Hanoï est divisé en 12 districts urbains, 1 ville de niveau district et 17 districts ruraux. (Hà Đông est devenu district urbain et Sơn Tây est devenu ville de niveau district)

    Districts de Hanoï (2008).
    Découpage de Hanoï
    Villes/Districts[8]Quartiers[8]Superficie
    (km2)[8]
    Population[8]
    1 ville
    Sơn Tây15113,474181 831
    12 arrondissements
    Ba Đình149,224228 352
    Bắc Từ Liêm1343,35320 414
    Cầu Giấy812,04147 000
    Đống Đa219,96352 000
    Hai Bà Trưng2014,6378 000
    Hà Đông1747,917198 687
    Hoàn Kiếm185,29178 073
    Hoàng Mai1441,04216 277
    Long Biên1460,38170 706
    Nam Từ Liêm1032,27232 894
    Tây Hồ824115 163
    Thanh Xuân119,11185 000
    Sous total145233,562 178 258
    17 districts ruraux (Huyện)
    Ba Vì31 + 1 ville428,0265 000
    Chương Mỹ30 + 2 villes232,9271 761
    Đan Phượng15 + 1 ville76,8124 900
    Đông Anh23 + 1 ville182,3276 750
    Gia Lâm20 + 2 villes114,0205 275
    Hoài Đức19 + 1 ville95,3188 800
    Mê Linh16 + 2 villes141,26187 536 (2008)
    Mỹ Đức21 + 1 ville230,0169 999
    Phú Xuyên26 + 2 villes171,1181 500
    Phúc Thọ25 + 1 ville113,2154 800 (2001)
    Quốc Oai20 + 1 ville136,0 (2001)146 700 (2001)
    Sóc Sơn25 + 1 ville306,51254 000
    Thạch Thất22 + 1 ville128,1179 060
    Thanh Oai20 + 1 ville129,6142 600 (1999)
    Thanh Trì15 + 1 ville98,22241 000
    Thường Tín28 + 1 ville127,7208 000
    Ứng Hòa28 + 1 ville183,72193 731 (2005)
    Sous total399 + 22 villes3 266,1863 872 851
    Total559 + 22 villes3 344,476 232 940

    Climat

    Le climat de Hanoï, comme dans le nord du Viêt-Nam, est de type subtropical humide, marqué par des hivers secs mais frais, et par de longs étés très moites, sous l'influence de la mousson.

    Relevé météorologique de Hanoï[9]
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 13,7 15 18,1 21,4 24,3 25,8 26,1 25,7 24,7 21,9 18,5 15,3 20,9
    Température maximale moyenne (°C) 19,3 19,9 22,8 27 31,5 32,6 32,9 31,9 30,9 28,6 25,2 21,8 27
    Précipitations (mm) 18,6 26,2 43,8 90,1 188,5 239,9 288,2 318 265,4 130,7 43,4 23,4 1 676,2
    Source : wetterkontor.de

    Démographie

    Depuis 1995, la population d'Hanoï a évolué comme suit[10]:

    Année 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004
    population 2 431 000 2 492 900 2 556 000 2 621 500 2 685 000 2 767 700 2 852 900 2 928 300 3 000 300 3 071 400
    Année 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
    population 3 133 400 3 184 800 3 228 500 6 381 800 6 472 000 6 588 500 6 725 700 6 836 500 6 936 900 7 067 000

    En 2008, Hanoï a absorbé la Province de Hà Tây et d'autres territoires ruraux ce qui explique sa très forte croissance démographique[11].

    Économie

    La capitale du Viêt Nam vit une métamorphose qui se lit aujourd'hui dans sa structure même. Plus de 15 000 entreprises étrangères se sont installées sur le territoire grâce à de nombreux avantages fiscaux proposés par le gouvernement communiste. La ville attire 20 000 nouveaux migrants chaque année et ne cesse de s'agrandir. En 2008, elle a absorbé la province de Hà Tây, triplant ainsi sa superficie. En 2012, c'est 800 nouveaux projets de bureaux et zones industrielles qui devraient voir le jour.

    Paysage urbain

    Urbanisme

    Plan de la Banque de l'Indochine conçue par l'architecte Félix Dumail dans les années 1930.

    C'est l'empereur Gia Long qui, depuis sa capitale installée à Hué, a reconstruit la citadelle en 1805 selon des plans inspirés par Vauban.

    La concession française, établie en 1875, devint en 1884 la capitale du Tonkin et, en 1902, la capitale de l'Indochine française. À ce titre, elle fut l'objet d'un véritable projet urbain colonial fondé sur le concept de la ville-jardin, valorisant les nombreux lacs[n 2] qui marquent l'identité paysagère de Hanoï[12],[13].

    La vieille ville

    Au début du XXe siècle, certains quartiers ou rues entières sont spécialisées dans une activité donnée (les 36 guildes), par exemple la ferronnerie, le textile, la chaussure, l'ameublement, ou les confiseries et cadeaux de mariage [14].

    La capitale du Vietnam se divise en quatre grands quartiers : Ba Đình à l’ouest, Hoàn Kiếm (ex-Petit Lac) au centre, Hai Bà Trưng (ex-quartier de la gare ou boulevard Gambetta)– nommé ainsi en l’honneur des sœurs Trung qui défendirent la ville contre les Chinois au Ier siècle – et Đống Đa au sud-ouest.

    Hanoï moderne

    Le , il est décidé que la province de Hà Tây, le district de Me Linh de la province de Vĩnh Phúc et 4 communes du district de Lương Sơn de la province de Hòa Bình seraient absorbés par Hanoï à partir du [11]. La superficie d’Hanoï a augmenté de 334 470 hectares[15]. La population résultante est alors de 6 232 940 habitants[15] pour une superficie de 13 436 km2.

    Hanoï a subi un très fort développement de la construction ; des gratte-ciels sont apparus dans les zones urbaines. En 2014, Hanoï a plus de 100 gratte-ciels de plus de 100 mètres de hauteur[16].

    Lieux et monuments historiques

    Photographies de Hanoï

    Culture

    Jumelages et accords de coopération

    Hanoï est membre des associations Asian Network of Major Cities 21 (en) et C40 Cities Climate Leadership Group.

    Hanoï est jumelé avec les villes ou régions suivantes:

    Enseignement supérieur

    Hanoï a de nombreuses universités dont les suivantes :

    Spécialités culinaires

    Bánh cuốn

    Hanoï, comme le reste du Viêt Nam, est connue pour sa gastronomie. Les principales spécialités de la ville sont, entre autres, les nems de Hanoï, la soupe phở où dominent la Phở Bò au bœuf et la Phở Gà au poulet, les beignets de crevettes et beignets de calamar, le Bánh cuốn.

    Musées

    Hanoï héberge de nombreux musées :

    Marchés

    Hanoï est une ville extrêmement commerçante. Au-delà de ses différents quartiers du vieux centre qui se divisent par métiers, la capitale vietnamienne possède de nombreux marchés tant généralistes que spécialisés :

    • Le marché de nuit de Long Bien
    • Le marché de Dong Xuan
    • Le marché nocturne de Dong Xuan / Vieux Quartier
    • Le marché de Hang Da
    • Le marché Ngo Si Lien
    • Le marché aux Fleurs de Quang Ba
    • Le marché aux tissus de Hom
    • Le marché des objets votifs de Hang Ma[26]

    Cultes

    Hanoï a de très nombreux lieux de culte dont les suivants :

    Confucéen, Taoïste

    Bouddhiste

    Catholique

    L'archidiocèse[n 9]:

    Événements

    Cérémonie de clôture du 97e congrès mondial d’espéranto
    • 1er au , célébration du millénaire d'Hanoï
    • au , 97e congrès mondial d'espéranto, dont le thème était « L’espéranto, un pont vers la paix, l’amitié et le développement ». Il a été suivi par des participants venus de 62 pays.
    • Hanoï accueillera un Grand Prix de Formule 1 en 2020[27].

    Transports

    Transports aériens

    Hanoï est desservie par l'aéroport international de Nội Bài, qui comprend deux terminaux, l'un pour les vols internationaux, l'autre pour les vols intérieurs. Le terminal T2 se trouve à environ 30-45 minutes de Hanoi Ville, il a été ouvert récemment, et est opérationnel depuis le début de 2015.

    Des projets sont en cours de définition afin de transformer l'aéroport de Gia Lâm, beaucoup plus proche du centre de Hanoï que Nội Bài, en terminal destiné aux vols intérieurs[réf. nécessaire].

    Transports ferroviaires

    La gare de Hanoï est le terminus pour le transport passager des trains de la ligne de chemin de fer Nord-Sud, ainsi que des trains desservant les villes Nord-Est du Viêt Nam, dont Lào Cai, gare la plus proche de Sa Pa[28]. À partir de la gare centrale de Hanoï, il est également possible de se rendre à Pékin avec un changement de train à la frontière sino-vietnamienne.

    Liaisons par autocars

    Comme dans de nombreuses villes d'Asie du Sud-Est, il existe de nombreuses compagnies d'autocar qui desservent Hanoï.

    C'est le moins cher des moyens de transport. Comme dans tous les pays du Sud, il y a un réseau dense de communication par minibus ou bus. À part sur la N1 et quelques tronçons qui s'y rattachent, la qualité des routes et de la conduite du chauffeur varie de l'acceptable au pire. Comme en montagne, on parle en heures de route plutôt qu'en kilomètres. - Les bus vietnamiens se sont modernisés et sont de plus en plus aux normes internationales. - Les bus express restent lents mais sont plus rapides que les bus locaux, qui s'arrêtent partout à la demande. Les gares routières sont presque toujours situées en périphérie des villes.

    Transports urbains

    Circulation à Hanoï.
    Circulation familiale à Hanoï.

    Réseau de bus

    La course de bus à Hanoï est très bon marché, avec 7 000 dongs la course en 2015, à payer une fois dans le bus et les véhicules sont climatisés. Il existe un plan de réseau officiel disponible au terminus central, toutefois les trajets et arrêts peuvent varier selon les fantaisies des conducteurs. Les arrêts de bus ne sont pas toujours très visibles. En 2007, un bureau d'urbanistes travaillait à la réorganisation et au recensement des lignes et arrêts existants.

    Taxis

    Il y a de nombreuses compagnies de taxi, toutes avec des tarifs différents. Les clients sont pris en charge sur la rue, à des stations de parcages qui sont réservées aux taxis ou sur commande par téléphone à la centrale. La plupart des véhicules sont équipés de compteurs. Le prix de la course peut également se négocier avant.

    Motos taxis (xe ôm)

    On trouve des xe ôm (prononcez sè ôm) à chaque coin de rue. Littéralement on comprend : xe = « moyen de locomotion », ôm = embrasser, enlacer. Les conducteurs attendent les clients souvent aux carrefours, sur ou à côté de leur moto et essaient de convaincre de potentiels clients de prendre une course avec eux. Comme pour tout au Vietnam, le prix se négocie et peut également avoir changé au moment de payer.

    Cyclo

    Les habitants locaux ne se déplacent plus vraiment en cyclo et leur préfèrent les taxi-motos, plus rapides. Les cyclos restent donc un moyen de visiter la ville pour les touristes. On les trouve principalement près des lieux touristiques (lac Hoan Kiem, vieux centre…). Beaucoup d'hôtels organisent des tours en cyclo.

    Futur réseau métropolitain

    Deux lignes du métro de Hanoï sont en cours de construction[29],[30].

    Futur de la région capitale de Hanoï

    Un Plan sur l'aménagement de la région capitale de Hanoï pour 2030 et une vision pour 2050 a été annoncé par le ministère de la Construction[31]. La population de 17,6 millions d’habitants aujourd'hui pourrait s'élever à 21 ou 23 millions en 2030. Le périmètre de cette région couvrira plus de 24 300 km2.

    Notes et références

    Notes

    1. général Massu, commandant en chef des troupes d'évacuation
    2. Hanoï a des dizaines de lacs parmi lesquels les lacs Hoan Kiem, Halais, du Bambou blanc ou le lac de l'ouest
    3. (Temple de la Littérature de Hanoï que les Français appelaient « pagode des Corbeaux »)
    4. (Temple de Quan Thanh que des Français ont appelé par erreur « pagode du Grand Bouddha »)
    5. (cathédrale Saint-Joseph Nha Tho en vietnamien)
    6. (ex-pont Doumer, qui a résisté à tous les bombardements et n'est plus en très bon état)
    7. (construit en 1905 et rénové en 1995, qui a participé à l'histoire de la ville, en particulier au moment de la guerre)
    8. (rue Phan Dinh Phung ex-boulevard Carnot)
    9. Hanoï est le siège de l'archidiocèse d'Hanoï fondé en 1960, héritier du vicariat apostolique du Tonkin, érigé en 1659.
    10. Messes en français à 9 h 30 et 11 h

    Références

    1. Ville de Hanoï
    2. (vi) « Dân số Hà Nội đạt 7.558.965 người », Comité populaire de Hanoi (consulté le 13 octobre 2016)
    3. « Vietnam | Population: Hanoi | Economic Indicators », sur www.ceicdata.com (consulté le 13 janvier 2020)
    4. « Quoi voir à Hanoi? Les sites culturels et historiques de la capitale vietnamienne », sur Parfum d'Automne, (consulté le 13 janvier 2020)
    5. (Fleury 2003, p. 7)
    6. Yves Duchère, « La pollution de la rivière To Lich à Hanoï », Géoconfluences, (ISSN 2492-7775, lire en ligne)
    7. Louis Deroy, Marianne Mulon, Dictionnaire des noms de lieux, Le Robert, (ISBN 285036195X)
    8. « Cổng giao tiếp điện tử Thành Phố Hà Nội », Hanoi.gov.vn, (consulté le 24 septembre 2014)
    9. https://www.wmo.int/pages/index_fr.html
    10. (en) « Average population by province », Statistics Documentation Centre (consulté le 24 septembre 2014)
    11. (vi) Hồng Khánh, « Địa giới Hà Nội chính thức mở rộng từ 1/8 », VnExpress, (consulté le 25 septembre 2014)
    12. Christian Taillard, « Hanoï », Encyclopædia Universalis (consulté le 25 septembre 2014)
    13. Jean-Louis Tremblais, « Nostalgie d'Indochine », Le Figaro Magazine, semaine du 24 août 2018, p. 58-68.
    14. (Papin 2013)
    15. (en) « Hơn 90% đại biểu Quốc hội tán thành mở rộng Hà Nội », Dantri (consulté le 25 septembre 2014).
    16. (en) « Vietnam Skyscraper Diagram », skyscraperpage.com (consulté le 25 septembre 2014).
    17. (en) Selcuk Colakoglu, « The Flourishing Partnership Between Turkey and Vietnam », Journal of Turkish Weekly, Institute for Africa and Middle East Studies, (consulté le 24 juillet 2017)
    18. « Mémorandum sur la coopération entre Varsovie et Hanoi. », Ville de Varsovie, (consulté le 25 septembre 2014)
    19. « Hanoi Days in Moscow help sister cities », Vbusinessnews.com
    20. « PRINCIPALES COOPERATIONS DECENTRALISEES FRANCO-VIETNAMIENNES (2009) », AMBASSADE DE FRANCE AU VIETNAM (consulté le 25 septembre 2014)
    21. Robert Romero, « 25 ans de coopération avec la ville de Hanoï (Vietnam) », Île-de-France (consulté le 24 septembre 2014)
    22. « International Cooperation: Sister Cities » [archive du ], Seoul Metropolitan Government, www.seoul.go.kr (consulté le 26 janvier 2008)
    23. « Seoul -Sister Cities [via WayBackMachine] » [archive du ], Seoul Metropolitan Government (archived 2012-04-25) (consulté le 23 août 2013)
    24. « Sister Cities », Phnompenh.gov.kh (consulté le 26 mars 2013)
    25. « Thủ tướng Nguyễn Tấn Dũng hội kiến Tổng thống Seychelles », BÁO ĐIỆN TỬ CỦA CHÍNH PHỦ NƯỚC CỘNG HÒA XÃ HỘI CHỦ NGHĨA VIỆT NAM (consulté le 29 août 2013)
    26. « Quels marchés typiques découvrir à Hanoi et aux alentours? », sur Parfum d'Automne, (consulté le 13 janvier 2020)
    27. (en) « Vietnam to host Formula 1 Grand Prix from 2020 », sur https://www.formula1.com/, (consulté le 26 février 2019).
    28. Les horaires pour Sapa
    29. (en) « Tale of two metro lines shows battle for business in Vietnam » [archive du ] (consulté le 27 octobre 2017)
    30. (en) « Mise en chantier de la première ligne de métro de Hanoï », Vietnamplus, (consulté le 25 septembre 2014)
    31. « Planification de la région capitale de Hanoï », (consulté le 24 juillet 2017)

    Annexes

    Bibliographie


    • Georges Fleury, La Guerre en Indochine, Perrin, Paris, coll. « Tempus », , 2e éd., 690 p. (ISBN 978-2262020187)
    • Philippe Papin, Histoire de Hanoi, Fayard, , 408 p. (ISBN 978-2213606712)
    • Michel Catlla, Gilbert de Terssac, Truong An Quoc, Viêt-Nam en transitions, ENS Éditions, (ISBN 978-2-84788-526-2)
    • Lucien Bodard, La Guerre d'Indochine, Grasset, coll. « Documents Français », , 1168 p. (ISBN 978-2246552918)
    • Pierre-Richard Féray, Le Viêt-Nam, PUF, coll. « Que sais-je ? », , 128 p. (ISBN 9782130516934)
    • Pierre Clément, Nathalie Lancret (dir.), Hanoï, le cycle des métamorphoses, Cahiers de l’IPRAUS, Éditions Recherches, (ISBN 978-2-86222-038-3)
    • Philippe Papin, Histoire des territoires de Hà-Nôi : Quartiers, villages et sociétés urbaines du XIXe au début du XXe siècle, Les Indes savantes, (ISBN 978-2846542739)
    • Paula Delsol, Adieu et merci, Éditions Julliard,
    • Yveline Feray, Dix mille printemps, éditions Philippe Picquier, coll. « Picquier », , 503 p. (ISBN 978-2877302685)
    • Régine Deforges, Rue de la Soie, Fayard, , 352 p. (ISBN 9782253140177)
    • Joan-Daniel Bezsonoff, Les Rambles de Saigon, Trabucaire, (ISBN 9782905828781)

    Articles connexes

    Liens externes

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